Ne pas faire le mal ne suffit pas; Dieu nous appelle aussi à faire activement le bien chaque fois que nous en avons l’occasion. L’inaction volontaire devant le bien connu est un péché.

Dire « si Dieu le veut » n’est pas une simple formule religieuse ; c’est un état de cœur. C’est reconnaître que Dieu est souverain sur nos jours, nos projets et nos réussites. Vivre sous la dépendance de Dieu, c’est accepter que certains de nos plans soient modifiés, retardés, voire annulés, parce que Son plan est meilleur que le nôtre.

Celui qui juge son frère met de côté la loi de l’amour, qui nous appelle à couvrir les fautes, à pardonner et à encourager. Au lieu de participer à la médisance, nous devrions être des artisans de paix, des porteurs de guérison et des voix d’édification.

L’humilité attire la faveur de Dieu et ouvre la voie à une élévation durable. S’élever soi-même mène à la chute, mais se laisser élever par Dieu mène à une gloire qui L’honore.

La soumission à Dieu est le fondement de toute victoire spirituelle. La résistance au diable devient efficace quand nous sommes pleinement alignés à la volonté de Dieu.

Dieu nous appelle à Lui appartenir entièrement. Il ne cherche pas des croyants à moitié consacrés, mais des enfants fidèles, séparés pour Lui. Fuir l’amour du monde, ce n’est pas fuir les gens ou les biens matériels, mais refuser de laisser ces choses prendre la première place dans notre cœur.

Dieu répond favorablement lorsque nos prières sont alignées sur Sa volonté et qu’elles visent plus que notre propre satisfaction : elles visent Sa gloire.

Aimer votre prochain comme vous-même est supérieur à toutes les autres règles. Elle révèle la vraie foi et témoigne de votre appartenance à Christ.

Une foi qui ne s’exprime pas par des actions concrètes est une foi morte. Car la véritable foi produit toujours des œuvres visibles.

En favorisant certains au détriment d’autres, nous démontrons que notre cœur est plus influencé par les critères du monde que par l’amour de Dieu. On démontre que notre foi est influencée par le regard du monde plutôt que par la vérité de Christ.